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Vous trouverez ici l'explication des sigles et abbréviations utilisés dans le vocabulaire courant des acteurs du financement de la lutte contre la désertification.



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Maïlys LUYE

(Modifié le: vendredi 26 août 2011, 09:29)

La Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CCD ou CLD) est la dernière des trois conventions de Rio à avoir été adoptée. Elle a été adoptée à Paris, deux ans après le Sommet de Rio, le 17 juin 1994, et est entrée en vigueur le 25 décembre 1996, 90 jours après réception de la cinquantième ratification. 193 pays sont Parties à la CLD. Elle traite de la désertification définie comme « la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches par suite de divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines » et des moyens de lutte adaptée : « mise en valeur intégrée des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches, en vue d'un développement durable et qui visent à: prévenir et/ou réduire la dégradation des terres, remettre en état les terres partiellement dégradées, et restaurer les terres désertifiées »...

Sa Conférence des parties (COP) s’est réunie annuellement entre 1997 et 2001, puis sur une base bisannuelle par la suite.

La 8e Conférence des Parties (COP-8), qui a eu lieu en septembre 2007 à Madrid (Espagne) a adopté le « Plan-cadre stratégique décennal visant à renforcer la mise en oeuvre de la Convention pour la période 2008-2018 ».

Depuis sa 9e session de la Conférence des parties à la CLD (Buenos Aires, sept. et oct. 2009), le Comité chargé de l’examen de la mise en oeuvre (CRIC) de la CLD a le statut d’organe subsidiaire. Par ailleurs, la COP-9 a convenu que son Comité scientifique et technique (CST-9), jusqu’ici composé de diplomates, serait désormais organisé dans le format des conférences scientifiques.

(Source : wikipédia, 19/05/2011)

(Modifié le: jeudi 24 mai 2012, 16:51)

La définition de la désertification, retenue au niveau international et énoncée dans l'article 1 de la Convention des Nations Unies est la suivante : "le terme désertification désigne la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et sub-humides sèches par suite de divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines".

Convention LCD, octobre 1994, p.4.

(Modifié le: jeudi 25 août 2011, 14:00)

Le Fonds international de développement agricole (FIDA) est une institution spécialisée du système des Nations unies. Il a été fondé en décembre 1977 dans le sillage de la Conférence mondiale de l'alimentation réunie à Rome en 1974.

Le cadre stratégique du FIDA est détaillé dans le Résumé du Cadre stratégique du FIDA 2007-2010.Son siège est à Rome.

Le FIDA est une banque d'aide au développement qui a pour vocation d'aider financièrement, comme bailleur de fonds et organisateur, au développement agricole et rural dans les pays en développement et en transition.
Il se donne pour mission d'y combattre la faim, la malnutrition et la pauvreté par l'amélioration des moyens et techniques agricoles et par la création et la modernisation d'activités agricoles ou commerciales en milieu rural, notamment moyennant des projets de microfinancement gérés au niveau local.

Le FIDA mène régulièrement à bien des projets en collaboration, entre autres avec la Banque mondiale, le PNUD, le PAM et la FAO.

(Source : wikipedia, 23/08/11)

Termes associés:
(Modifié le: jeudi 25 août 2011, 13:51)

International Fund for Agricultural Development (IFAD)

The International Fund for Agricultural Development (IFAD), a specialized agency of the United Nations, was established as an international financial institution in 1977 as one of the major outcomes of the 1974 World Food Conference. The Conference was organized in response to the food crises of the early 1970s that primarily affected the Sahelian countries of Africa.

IFAD is dedicated to eradicating rural poverty in developing countries.

Working with rural poor people, governments, donors, non-governmental organizations and many other partners, IFAD focuses on country-specific solutions, which can involve increasing rural poor peoples' access to financial services, markets, technology, land and other natural resources.

(From : http://www.ifad.org/governance/index.htm)

Termes associés:
(Modifié le: vendredi 26 août 2011, 09:26)

Lutte contre la Désertification (LCD) :

L'ONU en 1982 a proclamé une charte mondiale de la nature qui vise la restauration des milieux naturels à hauteur de leurs potentialités écologiques, puis a promulgué le 17 juin de chaque année journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse.

Selon l'ONU, la désertification est « le plus grand défi environnemental de notre époque ».

Créé en septembre 1997, le Comité Scientifique Français de la Désertification (CSFD) répond à une double préoccupation des ministères français en charge de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification :

  • Mobiliser la communauté scientifique française compétente en matière de désertification, de dégradation des terres et de développement des régions arides, semi-arides et sub-humides afin de produire des connaissances et de servir de guide et de conseil aux décideurs politiques et aux acteurs de la lutte.
  • Renforcer le positionnement de cette communauté dans le contexte international.
  • Contribuer à la diffusion et à la valorisation des connaissances scientifiques.

(Source : wikipedia, 19/05/11)


L'expression "lutte contre la désertification" désigne les activités qui relèvent de la mise en valeur intégrée des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches, en vue d'un développement durable et qui visent à:

(i) prévenir et/ou réduire la dégradation des terres,

(ii) remettre en état les terres partiellement dégradées, et

(iii) restaurer les terres désertifiées.

(Source : CCD, Article premier : "Emploi des termes").


(Modifié le: jeudi 25 août 2011, 14:01)

Le micro-crédit désigne les dispositifs permettant d’offrir des crédits de faible montant - d’où "micro" - à des familles pauvres pour les aider à conduire des activités productives ou génératrices de revenus leur permettant ainsi de développer leurs très petites entreprises.

(Modifié le: jeudi 25 août 2011, 14:03)
application/pdf outil_microfinance.pdf

Selon Servet, 2005, la microfinance est caractérisée par « le faible montant des opérations, la proximité non seulement spatiale, mais aussi mentale et sociale entre l’organisation et sa population cible, et la pauvreté supposée des client(e)s ou l’exclusion qu’elles ou ils subissent ».

Sous ce terme générique, se cache en fait une diversité de modèles : les organisations tendent à y associer de plus en plus d’autres services que le crédit, en particulier l’épargne, les assurances, les transferts.

Les méthodes privilégiées par les institutions de microfinance (microcrédit solidaire, prêt individuel, adossement bancaire, etc.) sont fortement déterminées par des incitations publiques.

Malgré leur parenté évidente, la microfinance diffère de la finance informelle car elle ne se définit plus par des pratiques qui mettent en relation plusieurs personnes, mais elle met en place un ensemble d’institutions intermédiaires, les institutions de microfinance (IMF).

La microfinance ne se limite pas à l’octroi de microcrédits aux pauvres mais concerne bien la fourniture d’un ensemble de produits financiers à une population qui n’a pas accès à la banque. Elle inclut donc :

  • une gamme large de services financiers (crédit, épargne, assurance, transfert d’argent etc.)
  • pour une clientèle également étendue.
(Modifié le: mercredi 28 septembre 2011, 09:51)

Le NEPAD provient de la fusion de deux autres plans proposés pour l'Afrique : le Plan Oméga et le Millenium African Plan ou Plan MAP. Ceux-ci, apparus au cours de l'année 2000, cherchaient à pallier le retard immense qu'avait pris l'Afrique en matière de développement sur la scène internationale. L'Afrique est en effet le seul continent dont le développement et la présence internationale régressent. C'est pour cela que le président sénégalais Abdoulaye Wade proposa en janvier 2001, au sommet France-Afrique de Yaoundé, le Plan Oméga. Celui-ci visait à "résorber l'écart entre pays développés et pays sous-développés par des investissements massifs d'origine externe, coordonnés à l'échelle continentale, pour poser les bases du développement du continent africain". De leurs côtés, le président algérien Abdelaziz Bouteflika, le président nigérian Olusegun Obasanjo et le président d'Afrique du Sud Thabo Mbeki proposèrent le plan MAP, qui tentait principalement d'incorporer l'Afrique au sein des actions mondiales. C'est en juillet 2001, au sommet des chefs d'Etats de Lusaka, que ces deux plans fusionnèrent sous le nom de NEPAD (Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique). Le NEPAD n'est pas une institution complètement autonome. C'est avant tout un projet, et ce projet est sous la tutelle de l'Union africaine. Il est l'un de ses programmes. Son ultime but est de combler le fossé séparant l'Afrique du reste du monde.

Extrait de Wikipedia, le 28/09/11

(Modifié le: jeudi 25 août 2011, 14:07)

Organe National de Coordination

(Modifié le: jeudi 25 août 2011, 14:07)

Programme d'Action National


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